En février 2024, le Building Administratif Mamadou Dia, au cœur d’une controverse récente, a fait l’objet d’une décision controversée d’octroi d’une rallonge budgétaire d’1,150 milliard, apprend-on du quotidien Libération.
Cette décision a été prise malgré l’opposition ferme de la Direction Centrale des Marchés Publics (DCMP), qui a été contrainte de céder sous la pression d’une certification émanant de l’ancien gouvernement.
Ce marché, attribué de gré à gré à un entrepreneur pour une durée initiale de 3 ans, renouvelable, vise prétendument à assurer la « maintenance » du bâtiment administratif.
Cependant, des rapports indiquent que le bâtiment n’est pas opérationnel depuis plusieurs mois, soulevant ainsi des questions sur la justification et l’urgence de cette décision budgétaire.